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Masque
- Le 24/08/2016
- Dans Mes peintures
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Acrylique, papier
30x40
Masque
Lorque le masque tombe,
Pleurent les yeux d'hommes
Face aux sourires des femmes.
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Magie d'images 02 février 2016
- Le 24/08/2016
- Dans Les expositions
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Magie d'images
Exposition à l'office du tourisme de la ville de Châteaubriant du 2 au 20 février 2016, en compagnie de Madame Bérénice Pasquier et de ses poteries sous le thème : Les hommes debouts
Entouré de mes amis : Linda Denill, Artiste verrière, Gabriel Claude Artiste peintre, Jacky Millet Artiste photographe
Pour en savoir plus cliquer sur le lien ci-dessous
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Pêcherie
- Le 24/08/2016
- Dans Mes dessins
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La cabane du pêcheur : crayons couleurs + aquarelle
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Pensée
- Le 18/08/2016
- Dans Mes pensées
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De l'espace, notre planète est bleue !
Est-ce à cause de la maltraitance que nous lui infligeons?
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Barcasses dormeuses
- Le 17/08/2016
- Dans Mes peintures
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Acrylique
30x40
Barcasses dormeuses
Lorsque chantent les copains, les mouettes s'envolent.
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Que suis sans toi ?
- Le 17/08/2016
- Dans Mes poèmes
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L’oreille écoute
Ce qu’elle ne voit pas
Lorsque le doigt touche
Le néant qui n’est pas !
L’abstrait enfermé
Dans les convictions
D’esprit mollasson,
Étouffe les pensées d’aliénés.
Que suis-je sans toi,
Qu’un tronc desséché
Croupissant à l’ombre des lois,
Exhortant les principes de la foi ?
Sur ton autel
Toutes les fleurs,
Toutes les airelles
Comptent mes heures.
Le monde me secoue,
La vie se dissout !
Peu à peu elle se renferme,
Petit à petit il gangrène !
Ravage du temps
Oubli permanent
D’où l’on vient,
Déraciné pour rien,
Pour des envies abstraites,
Souvent pour des actes traîtres.
Que suis-je sans toi,
Qu’un fuyard aux abois
N’écoutant que l’oreille,
Ne voyant que le réel,
Que le concret abject
Des souffrances malhonnêtes ?
Que suis sans toi,
Qu’un doigt qui montre
Ce qu’il ne va pas,
Qu’un pleutre sans honte ?
Que suis sans toi,
Que serais-je sans la foi,
Qu’une poussière sans émoi ?
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Promenade solitaire
- Le 17/08/2016
- Dans Mes poèmes
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Mes pas crissent sur la venelle de sable ;
Choisel, tes poules d’eau patinent
Sur les rides de l’étang ombragé
Où dansent encore les peupliers !
Douce renaissance d’un soleil qui se lève
Pour décompter mes décennies
Sur les cadrans mobiles des voyageurs punis
De fleurs dont les têtes tournent, tournent
De l’aurore jusqu’à l’aube sans répit.
Je palpe le vent,
Je ressens son souffle,
Et sur le miroir l’onde brisant
L’eau verte qu’elle maroufle
D’une caresse d’été,
Finit par m’impressionner.
Mes yeux se perdent sur l’étang
Pour y croiser une carpe argentée
Qui marsouine tranquillement
Sous le sucre blanc d’un nénuphar.
Lentement ce voyage prend fin.
Les rayons ras ont consumé depuis longtemps
L’unique machaon posé en un temps
Sur la vitre de mes printemps,
Qu’une femme aux ongles peints
A laissé filer pour un autre destin.