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  • Masque

    Acrylique, papier

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    Masque

    Lorque le masque tombe,

    Pleurent les yeux d'hommes

    Face aux sourires des femmes.

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  • Magie d'images 02 février 2016

    Magie d'images

     

    Exposition à l'office du tourisme de la ville de Châteaubriant du 2 au 20 février 2016, en compagnie de Madame Bérénice Pasquier et de ses poteries sous le thème : Les hommes debouts

    Entouré de mes amis : Linda Denill, Artiste verrière, Gabriel Claude Artiste peintre, Jacky Millet Artiste photographe

     

    Pour en savoir plus cliquer sur le lien ci-dessous

    http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/chateaubriant-44110/cinq-artistes-decouvrir-loffice-du-tourisme-4031429

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  • Pêcherie

    La cabane du pêcheur : crayons couleurs + aquarelle

    Sans titre

     

  • Papillon

    Papillon : crayon aquarelle

    Papillon

     

  • Pensée

    De l'espace, notre planète est bleue !

    Est-ce à cause de la maltraitance que nous lui infligeons?

     

  • Barcasses dormeuses

    Acrylique

    30x40

    Barcasses dormeuses

    Lorsque chantent les copains, les mouettes s'envolent.

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  • Que suis sans toi ?

    L’oreille écoute

    Ce qu’elle ne voit pas

    Lorsque le doigt touche

    Le néant qui n’est pas !

     

    L’abstrait enfermé

    Dans les convictions

    D’esprit mollasson,

    Étouffe les pensées d’aliénés. 

     

    Que suis-je sans toi,

    Qu’un tronc desséché

    Croupissant à l’ombre des lois,

    Exhortant les principes de la foi ?

     

    Sur ton autel

    Toutes les fleurs,

    Toutes les airelles

    Comptent mes heures.

    Le monde me secoue,

    La vie se dissout !

     

    Peu à peu elle se renferme,

    Petit à petit il gangrène !

     

    Ravage du temps

    Oubli permanent

    D’où l’on vient,

    Déraciné pour rien,

    Pour des envies abstraites,

    Souvent pour des actes traîtres.

     

    Que suis-je sans toi,

    Qu’un fuyard aux abois

    N’écoutant que l’oreille,

    Ne voyant que le réel,

    Que le concret abject

    Des souffrances malhonnêtes ?

     

    Que suis sans toi,

    Qu’un doigt qui montre

    Ce qu’il ne va pas,

    Qu’un pleutre sans honte ?

     

    Que suis sans toi,

    Que serais-je sans la foi,

    Qu’une poussière sans émoi ?

     

  • Promenade solitaire

    Mes pas crissent sur la venelle de sable ;

    Choisel, tes poules d’eau patinent

    Sur les rides de l’étang ombragé

    Où dansent encore les peupliers !

     

    Douce renaissance d’un soleil qui se lève

    Pour décompter mes décennies

    Sur les cadrans mobiles des voyageurs punis

    De fleurs dont les têtes tournent, tournent

    De l’aurore jusqu’à l’aube sans répit.

     

    Je palpe le vent,

    Je ressens son souffle,

    Et sur le miroir l’onde brisant

    L’eau verte qu’elle maroufle

    D’une caresse d’été,

    Finit par m’impressionner.

     

    Mes yeux se perdent sur l’étang

    Pour y croiser une carpe argentée

    Qui marsouine tranquillement

    Sous le sucre blanc d’un nénuphar.

     

    Lentement ce voyage prend fin.

     

    Les rayons ras ont consumé depuis longtemps

    L’unique machaon posé en un temps

    Sur la vitre de mes printemps,

    Qu’une femme aux ongles peints

    A laissé filer pour un autre destin.