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Ma bibliographie

  • Dans le silence du vent

    Projet : Dans le silence du vent

    Recherche d'une maison d’édition à compte éditeur pour ce quatrième recueil.

    Les proses poétiques croiseront la poésie écrite en vers libérés de toutes contraintes. Les mots ainsi libérés pourront s'ancrer à l'âme du lecteur.

     

    Comme à l'habitude je vous proposerai mes vérités sur les sujets parfois difficiles que l’on trouve dans l'amour, ou dans une société désemparée. J'essaie comme à l'habitude de véhiculer des valeurs que le lecteur est libre de s'octroyer.

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    Mot de l’auteur

    Ce recueil est réalisé de façon à vous transporter au cœur de mes ressentis. Je dépose ainsi à vos pieds mes songes et mes vérités

    Comme beaucoup d’entre nous j’aime la vie et ce qui en fait son essence. L’amour, la foi en l’humanité et les valeurs indissociables que sont le respect, l’acceptation, la considération, l’appréciation, l’ouverture d’esprit, l’entraide, la réciprocité, la solidarité, l’écoute, puis enfin la bienveillance et la fraternité qui devrait être les fondamentaux d’une société apaisée.

     

    J’écris souvent dans l’urgence, par instinct lorsqu’un brin d’herbe bouge, lorsqu’une œuvre artistique lors d’une exposition me parle, ou encore lorsque les sujets, souvent brûlant, de l’actualité mondiale me glace, m’horrifie. Dans ces moment, de façon psychédélique, presque hallucinatoire, je m’évade au cœur de mes transes pour coucher mes visions, mes sentiment sur les pages d’un petit calepin afin, plus tard y revenir tête froide.

     

    La vie n’est qu’un passage rapide dans lequel nous avons le devoir de laisser un peu de nous-même afin de transmettre nos valeurs, nos espoirs, nos amours mais aussi nos doutes, nos amertumes, nos peurs aux générations futures pour qu’elles puissent continuer de graver dans le marbre l’histoire, avec un grand H, de l’humanité.

     

    N’oubliez jamais

    Les instants de l’enfance,

    Ceux de l’espérance.

     

    Introduction

     

    Tu vois

     

    Je n’ai pas oublié le temps où les feuilles mortes, souvenirs et regrets, se ramassaient encore à la pelle. J’ai toujours en mémoire le temps, celui des odeurs de tartes et de meringues qui envahissaient l’appartement modeste où j’ai grandi, jadis, avec peine et acharnement. Je navigue toujours comme un navire ivre entre les souvenances d’un vélo de couleur parme et les draps blancs d’un hôpital accueillant. J’erre encore de port en port ne sachant pas faire le point puisque le manuel du sextant ne m’a pas été donné.

    Que reste-t-il de ce garçon ténébreux qui parfois se cachait pour ne pas qu’on le voit pleurer, hurler, face aux incompréhensions des grandes personnes qui auraient dû veiller sur lui ou simplement le protéger ?

    Je ne t’en veux pas m’man car la vie dans le temps était ainsi !

    Le temps, aujourd’hui, a fait son office et j’ai réussi à vieillir grâce à des béquilles de vie toutes aussi bancales les unes que les autres, mais j’ai avancé tant bien que mal sur mes chemins jonchés de pavés disloqués. Je sais m’man que j’ai évolué comme beaucoup de personnes, et comme toi, avec des bleus à l’âme et des vagues déferlantes au cœur je me suis souvent retrouvé en état d’urgence, laissé à l’abandon aux objets perdus. J’y ai trouvé toutes les clefs, tous les parapluies, toutes les couvertures même les plus rêches, et j’ai appris.

    J’ai écouté le monde puis à ma façon je l’ai parcouru en suivant les nuages parfois lourds de pluie ou en me précipitant au devant de la course du soleil qui a fini par brûler mes ailes.

     

    Cet ouvrage t’est destiné, à titre posthume, et même si je sais que tu ne le liras jamais, il est l’hommage que je te dois.

     

    Dans le silence du vent j’ai souvent entendu les gémissements des va-nu-pieds, des sans-abri, des laissés-pour-compte. Je me suis enivré de leurs danses macabres lorsque mes pas claquaient sur les trottoirs où trônaient comme des matelas douillets les cartons et les lithographies déchirées par l’existence, très souvent achevée, des indigents.

     

    Dans le silence du vent, aujourd’hui, j’écoute la vie et la poésie qu’elle me dicte. J’y entends les prémices des amours et la fureur des corps qui s’électrisent, ou le chant des mésanges qui répondent aux stridulations des cigales d’Orient. Dans des décors parfois surréalistes, je couche mes vérités comme des pierres de lune sur un tapis d’algues brunes. J’essaie de peindre de mes poèmes, de mes proses, le monde tel que je le perçois. Parfois, il me heurte mais jamais il ne me laisse indifférent.

     

    À Mauricette, ma Mère : DANS LE SILENCE DU VENT 

     

     

  • À l'ombre de mon tilleul vert

    Vous trouverez mon dernier recueil : "À l'ombre de mon tilleul vert" sur le site des éditions Chloé des Lys.
    Pour se faire suivre le lien en bas de post.
    Paiement facilité et sécurisé par PayPal.

    Bonne lecture puis au plaisir d'échanger sur vos avis constructif.


    https://www.editionschloedeslys.be/catalogue/1099-a-l-ombre-de-mon-tilleul-vert.html?fbclid=IwAR3Cn7Sx9GDUwECcfH-lZ_Cm-6zmK6NclGYLwyAdPVi-4fptDCNXh3dFlBE

    1er de couverture

     

    Résumé : Recueil de poésie écrit en vers libérés de toutes contraintes où se mêlent l’amour, l’espoir, le temps qui passe mais aussi l’abject dans ce que les hommes sont capables de faire subir à l’humanité, à la nature.

    Etrait :

    À l’ombre d’un tilleul vert

    Souvent je viens m’asseoir sous mon tilleul vert afin de trouver, dans l’éclat du soleil haché par un feuillage joueur, les prémisses d’un élan, ceux de la beauté.

    Je les trouve dans ces moments extrêmes où l’essence de la vie fait d’un songe une valse à deux temps qui me pousse sereinement à comprendre le battement des ailes de papillons, ou celui de l’aiguille qui tourne sans relâche autour de nos horloges internes.

    Dans le ballet des tic-tacs

    Se construit la vie

    Au rythme de nos frasques.

    Souvent, la couleur de l’espoir vient chatouiller le jaune cru de mes matins engourdis afin de me bercer dans le blanc nacré des moutons sans berger qui semblent naviguer dans l’azur d’un ciel rieur, dans le no man's land d’un monde sans torpeur.

    Étranges visions que je livre en étal, étranges sensations, étrange amour.

      

    À l’ombre d’un tilleul

    Les feuilles bruissent au vent

    Dans les notes confuses d’un été,

    Elles chantent aux oreilles des enfants.

    Regards bleus,

    Têtes blondes,

    Le temps à l’abri des tilleuls passe.

    Les murmures des rayons francs

    Assoiffent les fontaines muettes,

    Réchauffent les billes d’antan.

    Agates aux tons miel,

    Têtes rousses,

    Les cours de récréation dorment.

    Dans l’air…

    Des fleurs,

    Mille senteurs,

    Le bonheur,

    Les blés dansent

    La ronde d’une houle formée,

    Le vol d’un papillon fatigué.

    Tout est calme en campagne,

    Le temps d’été s’égrène

    Paisiblement à l’ombre d’un tilleul.

    _____________

    Que reste-t-il de ce monde ?

    Un absolu dissolu dans le méandre des questionnements, dans les fondations d’une humanité en mutation, en transe.

    L’homme se voit ainsi contraint à des voyages forcés vers un aller sans retour en direction de la croisée de ses chemins.

    Trouvera-t-il sa quête ?

    En attendant nous marchons, dos voûté, sous le fardeau des méconnaissances !

    En attendant je marche vers mon tilleul vert.

    Marcher n’est-il pas déjà savoir s’arrêter lorsqu’un pas en suspension attend l’autre ?

    Cette étrangeté du temps, en cassation, qui comme un métronome donne la rythmique essayant de nous faire insouciamment entrevoir la respiration de la créativité de la vie, qui n’arrive plus à nous interroger, m’interpelle.

    Je m’interroge…

    Je marche…

    À pas lents, pour mieux appréhender le monde.

    La lenteur d’une marche

    Assoit la sagesse

    D’un centenaire affable.

    Le monde est plat

    Sur les mers démontées,

    J’ai remonté la sonde

    Pour y compter les nœuds

    D’une société lisse

    Afin de vous conter l’effroi

    D’un monde plat

    Où l’on tourne en rond,

    Où l’on marche à reculons,

    Vers des océans sans loi.

    Il n’y jaillira que des rencontres

    Faites de craintes sourdes,

    De hurlements d’enfants

    Étouffés savamment,

    À l’abri de nos serments.

    ISBN 978-2-39018-041-8

    3 4eme de couverture 3

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Rêveries Vagabondes

    Rêveries Vagabondes , Éditions La Safranière 51, rue Pierre DUGAS 17200 ROYAN

    Publication en autoédition

    Achevé d'imprimer en juillet 2016 par l'imprimerie LAGARDE 17600 SAUJON

    STOCK ÉPUISÉ

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  • Poésie d'AURORE

    Poésie d'Aurore : Éditions La Safranière 51, rue Pierre DUGA 17200 ROYAN. Publication en autoédition

    Achevé d'imprimer en mars 2013 par l'imprimerie LAGARDE, 17600 SAUJON

    Dépôt légal 2013

    ISBN : 978-2-919484-08-9

    STOCK ÉPUISÉ

    P2200220 1

    P2200219

    P2200222

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